les
frontières déclinent & ce n'est plus la guerre
ce
n'est plus la guerre lointaine
pour
l'instant un sourire bardé de course puissante l'a défaite
la
guerre meurt à son tour sous le coup de ceux
qui
parlent en clair dans la langue des vies – humains en marche
à
cette place rien à imaginer & peu à compatir
mais en
son secret asile beaucoup à recevoir
l'autre & le monde
ni plus ni moins
la plus
délicate des tâches la plus commune sur le seuil
du cœur
inviolable fine pointe d'un lieu où chacun peut
s'émouvoir
& s'assoupir
c'est beau
RépondreSupprimerce sourire
ces sourires...
Merci Marie :)
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