refleurir
cela t'appartient
dans ma
bouche se pressent l'augure d'une terre
qui
chante noir & le mot infini des brumes messagères
le
corps multiple se divulgue &
la rose
possède déjà tes lèvres . elle pose sur elles
la
lignée pleine des saisons
ailleurs
je la tairais
cette
matière dressée des hommes
mais
ici
feu –
bienveillante brûlure
en
dedans mines du plus clair charbon
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