petit parc du vieux poète - boulodrome & haute assemblée de bambous
dans la tempête : une volée d'enfants maladroits & bruyants qui claque ses bois & ses tôles.
la route borde le sauvage. le ruisseau traverse la route. les rafales ont désaxé l’œil. de la beauté secrète,
partout.
l'autre fois le vent si fort a défait ma course : des fouets hurlants, des coulées de feuilles. traversée impossible. demi-tour souffle écrasé par les forces du Sud. un peu plus bas - plus calme -
en descendant en remontant en descendant
on rejoint la ville en passant par le ciel, l'église & l'étroit horizon des morts.
Un poète c'est toujours un pays qui marche, écrit Goffette je ne sais plus où ..
RépondreSupprimerC'est une grande joie de vous lire à nouveau, Johal
Merci Agnès. Le plaisir est partagé.
RépondreSupprimerBeau texte Jos on y retrouve un vieux poète et son parc ses bambous et les paysages d'un pays qui m'est cher !n
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