alors
la rivière change
elle
chavire grise & immobile
le ciel
ne navigue plus sur ses flancs
les
images coulent droit jusqu'au fond
rejoignant
galets & friture
là se
localise un sentiment
d'abandon
ou de solitude
d'une
froideur apparente qui n'est pas & sans repos
un
sentiment sec & assoiffé
malgré
le volume des eaux au-dessus des cœurs ou des têtes
oui, terrible sentiment d'abandon, qui colle aux basques… (si j'ose dire)
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