la
conclusion est évidente –
fiouu
coup de vent
elle
s'éboule avec ses paquets de sable
de
nouveau tout est à creuser pour retrouver le germe vif du temps
éteint
sous le
sucre éphémère des acacias sous leur neige
l'arabesque
boueux des godillots cloutés la chair tendre qui perle son mot
pourpre
la
course des mèches à jamais entremêlées d'enfance
tout
cela derrière ton front blanc&bleu
qui
touche à nouveau les nuages
Oh… la fin…
RépondreSupprimerOui, c'est une fin :)
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