les
roses ont assailli le ciel –
malgré
moi n'aimant que l'imbroglio des verts
l'incandescence
confuse des nuances végétales & l'instant où l'
œil
ne peut plus s'attacher au connu – il s'affole – s'abandonne.
alors
que le vent troublait le murmure du lieu
qu'un
chant s'arrachait des ombres (ombre lui-même façonnée plus tard
merle-suie
merle-trait)
le
fanal palpitant des pétales aperçu haut
comme
perché&ployant par-dessus un cœur invisible
se
mêlait aux filaments menus du bonheur.
petit
à petit se tissent les liens d'amour
vent
rose&ciel
cet
horizon dans ton regard
l'espace-être
entre deux corps : du coton / de la mousse
le
filet d'eau qui délivre nos bouches
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