accrochée au battant de la
cloche
dans ce lieu où il n’y a
plus de rêve
ou bien un rêve mû en
absolu réel
pratiquant dedans la face
informe
mouvante des horizons sans
foi
avec cette eau impure qui
mouille le regard
& colportée par
l’incompréhension d’une rumeur d’automne
c’est à dire un genre de
vanité rousse
clong clong entrepreneuse de
tempes
à rebours. perdue comme
toujours.
affolée par le bruit qui
racle
le balancement amoureux des
chairs –
c’est la vie ! les
chemins d’habitude
désarment le destin &
le parcours
transparent dans tes yeux
délivre une nudité
qui consume nos fers. la
poussière
intime dérangée sous le
tapis des os
s’envole vers la bouche de
monstres fragiles
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire