sans mentir
du
fond des caisses à l'endroit des ventres & des moiteurs
là
où ça croît en
clandestin – les
lumières sont étranges
on
les prend pour des rouleaux noirs
compresseurs
d'espace –
la
cité tout
entière doit tenir dans
le volume des chairs
gonflées
de quelques brassées
d'ondes – musika
on dira
sans
y toucher parce qu'il n'y a qu'ainsi sans
y toucher
que
les révolutions s'affaissent & glissent sous les portes
remontent
les artères finissent avec l'alcool adjoint
de cieux annexes
par imprégner le cœur – pharmakon
les
enfers grouillent de beauté
la
beauté croque
chaque Diable
recrache
peaux mots & sons
…
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