une
façon de clore les printemps
serait
que tu laisses ici sous tes jambes nues
courir
le murmure des acacias quand le vent
attise
toute jeunesse & que ton rire d'avant
s'évade
pour de vrai du corps vacuolaire –
fleurirait
alors d'abondance l'effondrement
de ce
système de fracas & d'alliance – le fragile système –
bien
sûr pour nous – chaque instant une longue absence –
bien
sûr pour toi – chaque inspiration contre
le crin des abysses –
le crin des abysses –
Ah… Je te relis avec joie… Merci ! Bises, JJ
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