c'est
toujours une histoire de lumière
à
travers les allées elle s'étrécit ou s'empâte
ricoche
sur un marbre – à mes pieds
se
creuse d'une corneille – dans mon œil
éclaire
les corps épars – il y a des poitrines
blanches
& des lèvres d'ivoire – cherchant éperdument
sa
demeure à la fin l'obscurité se terre
sous
une pédante épitaphe
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire