le cœur noir des bouleaux
déchire
la lumière
le peu
de lumière qui bataille encore ici – seulseule
dans
cette nature il n'y a que des mots vides
l'autre
est loin & n'a plus d'ouïe
la
pierre jetée depuis la margelle
n'en
finit pas de choir
avec
elle les oiseaux les illusions
jusqu'aux
amertumes qui s'évaporent
dans le
tombeau de leur propre chute
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