alors
c'est ça Circé
reine
des métamorphoses
floraison
blanche sur l'île ouverte – nectar de glaise
il
suffit de croire & croire est la plus abrupte des rencontres
aucun
pouvoir pouvoir pouvoir
mot
martelé — fécondé
sans substance – aucun / les plantes s'offrent les poisons
choisissent la délicieuse victime
tout
se répartit selon les lois invisibles
au
cœur aucune vérité au cœur cal clair
ici
– quoi ? – ici quoi qu'il en est de l'acte ?
ici
parler dans la langue du faire tâter du lieu avec la pâte molle des
sons
laisser
bondir & rebondir la flèche dans l'arcade
allumer
pour voir mieux le festin d'étoupe
observer
les esquisses d'Humain
Porc
– grognais-tu en appuyant le p en soufflant sur le o
&
c'était insupportable – porc – il fallait déborder la
jouissance
dépecer
la douleur – être en étant plus être en étant autre –
derrière
on installe le chant sacré on prie on arrache sur la peau noire ou
rose
ce
qu'il reste de soie le sang perle &
la
voûte se redresse
dans
ses voiles le retour autour de ses cuisses
le
parfum des demeures ses mains retiennent & congédient
sa
bouche est ferment de naufrage ce qui fut est autre autre se
multiplie
enchanteresse
rien ne retient l'homme – il s'en trouve toujours un
pour
naviguer ou voler ou dire – il s'en trouve toujours un pour faire
l'Homme
un
est une les faits libres se contaminent
les
parlants se confondent
...
Salut Jos,
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=WRueCAy06ig
https://www.youtube.com/watch?v=gZU7C-U2kOg
Une ou deux vague mais hélas pas la dernière, sourire, j'aime encore une fois ce que tu écris, pour surfer ici c'est un bon spot, bref toujours la, je serai surement ici silencieusement pendant un moment quand le ciel sera plus dégagé.
Cres qui te dis de prendre soin de toi et merci pour tous ses lettres :)
Bon courage Cres. Le ciel finit toujours par se dégager. Un sourire pour toi.
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