dans
la dérobade de l'instant
corps
pleins
traversés
d'étoiles fluides
l'océan
ruisselant sur les peaux
ils
rient les garçons & gonflent leurs torses
bruns
jusqu'à l'escale blanche du sourire –
des
vies & des vies simples par monts&vaux de mondes
pas
plus complexes qu'avant –
tous
nous autour
à
suivre depuis l'île les plongeons cathartiques
tous
nous terriens&secs augmentés
d'une
ombre pasolinienne
&
d'un plus tard à jamais jamais jamais
juchés
sur des épaules de cendres
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