remises
à jamais
les
enfances
qui
angélisent le monde –
dans
toutes les filantes
je
puise un vœu & ce matin
sentant
dans ces parfums d'été
l'âme
du miracle
je
tombai sur ce qui sans être encore perdu
était
déjà retrouvé – voilà criai-je
c'est
la preuve ! qu'aussitôt j'oubliai
puisque
ne croyant rien je croyais à tout
donc
à l'oblitération des faits
aux
innocences désarticulées qui poussent dru dans le fer des étoiles
&
l'ai-je dit plus tôt ? aux miracles – bien sûr
à
chaque lettre infuse du miracle
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