ici
aussi la terre est grasse & somptueuse
les
vallées s'échappent des hommes
pour
tambouriner devant des dieux hypothétiques leur vieux libre cœur
l'aile
grande rencontre l'aile petite sous la cloche immobile du ciel
on
croirait la paix une nouvelle fois – on croirait la paix éternelle
il
y eut à cet endroit d'autres hommes qui soufflèrent dans des flûtes
d'os
qui
firent du commerce & des guerres
mais
sous les parois enfouies ce qu'il reste :
un
cheval brisant le roc le rêve de jardins furieux
&puis
le
temps qui glisse sur la matière sage des collines
le
même qui pousse sa force tendre sur le dos silencieux de ta main
le rêve de jardins furieux… Tout cela me parle, comme toujours.
RépondreSupprimer:) Merci Jean-Jacques.
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